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Faites connaissance avec Nate Schnarr

Date de naissance: 25 février 1999

Lance de la droite

Lieu de naissance: Waterloo, Ontario

Surnom: Schnarzy, Nater, ce que les gars choisissent!

Musique pour entrer dans l’ambiance d’un match : Ça dépend vraiment de la météo. S’il fait beau, je choisis de la musique country, mais j’aime aussi la musique house!

Équipe préférée en grandissant : Je suis triste de le dire maintenant, mais j’étais un fan des Maple Leafs de Toronto, mais il y avait évidemment une certaine admiration pour les fans de Montréal. (Rires)

Joueur préféré en grandissant : Mon joueur préféré en grandissant était Sydney Crosby ou Jonathan Toews. Comme je suis canadien, j’ai vu ce qu’ils ont fait pour Équipe Canada et je les ai vraiment admirés.

Q : À quoi ressemble ta routine de jour de match ?

R : Je pense que c’est assez similaire à la plupart des joueurs. Je me lève, je vais à la patinoire, je prends mon petit-déjeuner, je fais le morning skate, je rentre à la maison, je dîne, je fais une petite sieste et je me présente assez tôt pour le match. Rien de bien excitant.

Q : A quoi ressemble une journée de repos typique ?

R : J’adore passer du temps avec les gars. Je pense que c’est une chose importante. Quand on est junior et qu’on fait partie d’une équipe qui a gagné le championnat, on remarque qu’il est très important d’être proche de ses coéquipiers. J’ai hâte d’avoir quelques jours de repos ici et d’apprendre à connaître les gars un peu mieux. J’ai entendu dire qu’on passe du temps ensemble et qu’on regarde le golf et des courses de F-1 !

Q : Quelle est ta première impression de Laval, de la ville, de l’amphithéâtre, etc.

R : J’ai été époustouflé, j’en ai presque perdu les mots. C’est une installation absolument incroyable. Évidemment, je savais à quoi ressemblait le fanbase en jouant ici. L’énergie qu’ils ont, c’est incroyable ! Même chose pour les installations, la façon dont nous sommes traités, le personnel, tout ici est incroyable. J’ai pas de mots !

Q : Comment décrirais-tu ton style de jeu ?

R : Je pense que je suis un travaillant. J’aime jouer un jeu sur 200 pieds, des deux côtés de la rondelle, être responsable défensivement et laisser cela créer de l’offensive. Et quand j’ai une occasion, j’aime la saisir!

Q : Quel est ton meilleur souvenir lié au hockey ?

R : Je pense que c’est dans le junior, j’ai gagné le championnat de la Ligue de l’Ontario. Je pense que c’est celui-là qui ressort le plus pour moi. C’était difficile de venir ici parce qu’il y a des gars de Rouyn-Noranda contre qui nous avons perdu au tournoi de la Coupe Memorial et ils ont fait en sorte que je m’en souvienne dès le premier jour. (Rires)

Q : En venant ici, tu as revu des visages familiers : Cam Hillis avec qui tu as joué à Guelph, Brandon Gignac et Danick Martel, de ton passage à Binghamton, et aussi Josh Brook, ton coéquipier au Mondial junior. Comment est-ce de les revoir et comment t’aident-ils à faire la transition ?

R : C’est génial, c’est beaucoup plus facile. Si j’ai une question, ils sont là pour m’aider. La transition a été facile pour moi. Évidemment, c’est quatre gars extraordinaires, que je connaissais déjà avant. Tout le monde dans le vestiaire m’a aidé à faire la transition plus facilement.

Q : Qu’est-ce que tu souhaites accomplir avec Laval ?

R : Je pense que je veux simplement faire une bonne présence en séries avec ce groupe. J’aime vraiment notre façon de jouer et je pense que nous avons les qualités d’une bonne équipe. Je pense que nous sommes responsables et travaillants, donc si nous pouvons nous mettre dans une bonne position pour l’après-saison, nous avons une très bonne chance de faire un bon parcours.

Q : Quelle était ton impression du Rocket lorsque tu jouais contre eux cette année ?

R : Je n’étais pas un fan ! Ils sont vraiment tenaces, ils travaillent fort, ils sont têtus, ils sont juste agaçants et partout sur la glace. Ils sont alertes et rapides. Je pense que c’est une très bonne identité à avoir en tant qu’équipe.

Q : Qu’est-ce qui te plaît le plus dans le fait de jouer au hockey en tant que professionnel ?

R : La camaraderie ! C’est vraiment spécial le lien qu’on créer en tant que coéquipiers et je l’ai vu quand je suis entré dans le vestiaire ici, comment tout le monde est soudé. Je pense que c’est une partie vraiment, vraiment spéciale du sport ! C’est aussi ce que j’ai voulu faire toute ma vie. Venir à la patinoire tous les jours et jouer au hockey est un de mes rêves les plus chers.

Q : Connais-tu quelques mots en français ?

R : Mon français est très débutant. Je me rappelle évidemment un peu de l’école secondaire et de l’école primaire. Je connais les bases : Comment ça va ? Ça va bien… Pas grand chose (rires) Je vais changer mon Duolingo pour le français et essayer d’apprendre un nouveau mot en français tous les jours !